Description:
Accès:
Grenoble->Albertville->La Bathie->Cevins->Le Vilard->le Planey
Parking :
route carrossable un peu défoncée au Planey
Itinéraire:
On rejoint rapidement le départ du chemin du lac des Cornaches, au milieu du printemps, on peut monter jusqu'au hameau du Planay.
Du parking au dessus du Planay prendre la piste pleine EST (pancarte) assez raide sur 300 m,
puis suivre le chemin d'été qui mène au Cornache, du parking au lac environ 3/4 d'heure.
Passer sous la combe Nord de la Tournette.
Traverser vers la gauche pour rejoindre le vallon des couloirs N de la Pointe de Bizard.
Faires un des 4 couloirs disponibles
CR:
L'an dernier avec le Totoff on avait péché par gourmandise. On s'était promis de revenir.
C'est fait. Même si l'approche nous a semblé un peu craignos sous 2000m genre mille feuilles divers et variés,
les couloirs étaient en top condition : 10/15 de pourdre +/- dense sur fond +/- tendre.
merci au Totoff. On s'est encore promis de revenir pour faire encore d'autres couloirs.
les promesses sont sans fin dans ces montagnes !
Course dédiée à l'ami JC.
On était quelques âmes,Quelques hommes, rêvant de liberté.
On n'était pas à vendre, mais on pouvait revendre des montagnes d'amitié
Le coeur en bandoulière, et les yeux rivés sur tous les couloirs
On n'avait pas peur, on sentait la chaleur qu'on savait se donner.
Que se soit en pleine poudre ou en neige gelée, on s'aidait à ne jamais tomber,
dans toutes les montagnes, même d'ailleurs.
On y croyait plus fort quand le courage manquait.
Oh l'Ami, même si ca n'a duré que 10 ans,
qui a forgé ce que je suis aujourd'hui,je n'oublierai jamais..
Qu'un beau jour nous avions fait ensemble cette promesse
de revenir dans cette combe des Nants
torcher ces couloirs qui nous manquaient.
Il n'en reste qu'un, je suis le dernier.
Plein d'ardeur, je suis revenu guérir nos vieilles blessures
J'entends toujours ta voix enthousiaste à l'idée de skier ces couloirs
même si il est encore trop tôt pour revenir en skier d'autres
dans les Aravis où tu reposes pour l'éternité.
Librement inspiré de La Promesse de Grégoire.
