Region: Lauzière
Orientation: Ouest
Difficulté: 3.1
Dénivelé: 1200m
Durée: 5h
Participant(s): Marine, FredB, FredD, Stefou
Description:
Accès: Grenoble -> Vallée de la Maurienne -> Aiguebelle -> Randens -> Montsapey
Se garer sur le parking au niveau du restaurant.
Montée:
Du parking poursuivre la route vers le nord qui se transforme en piste forrestière. jusqu'au virage sous la vielle ferme. Quitter la route au virage pour traverser au mieux la rivière et remonter le champ rive gauche. Rejoindre le sentier d'été à l'entrée de la forêt et le suivre jusqu'à ce qu'il s'éloigne trop de la combe issue du sommet. De la faire une traversée à la limite de la zone de vernes sur une sorte de replat pour rejoindre les croupes sur la gauche du sommet. Traverser en montant 2 combes pour rejoindre la plus large et la plus dégegé. La remonter jusqu'à une zone moins raide presque au niveau d'un petit col sur l'arête issue du sommet. De là continuer à monter en ascendance à droite cette fois jusqu'à l'aplomb d'un collu à gauche du sommet. Le rejoindre et suivre l'arête jusqu'au sommet.
Descente:
Partir directement du sommet en pleine face ouest par une pente assez large et reprendre l'itinéraire de montée jusqu'au début de la première traversée. Partir ensuite directement dans la zone de vernes, qui passe très bien main gauche et rejoindre le ruisseau traversé à l'allée
CR:
Qu'est ce qu'il pourrait y avoir à dire sur cette sortie. Pas grand chose en fait, si ce n'est que Marine excelle dans le style faites ce que je dis mais surtout pas ce que je fais. Après avoir sermoné le pauvre Vincent pendant tout le séjour en Ubaye sur le fait qu'il faut toujours avoir ses crampons avec soi pour parer à toute éventualité, qui ne s'est pas retrouvée sur une arête un peu verglacée à ne plus pouvoir avancer et encore moins reculer en pensant très fort à sa paire de crampon restée à la maison, non par oubli mais par choix.
On pourra bien entendu aussi parler de Bernard qui à croire qu'il a suivi une formation Chtit, se refusait obstinément à mettre ses couteaux sur une pente à 35° en neige dure et conversionnait de façon acrobatique jusqu'à ce qu'une glissade dont il a le secret le ramena à plus de raison.
Quant aux deux Fredos, ben rien à dire, parfaits et irréprochables comme d'habitude. Bon l'un un peu plus que l'autre quand même car il n'a pas été stoppé sur le pic sardine par une corniche sur l'arête à quelques 100m du sommet.
Voilà avec des commentaires pareils, peut-être qu'on ne me laissera plus les faire la prochaine fois ;-)
